Mais ce n’est pas nouveau que le gourou Tin-Tin et sa secte font preuve de corruption pour entraver les initiatives de ceux qui désirent une véritable professionnalisation à la vue des graves lacunes en hygiène et salubrité de la pratique du tatouage.
je dispose d’un paquet d’archives le prouvant, me concernant!

Voyez plutôt l’article du site du SNAT

https://syndicat-national-des-artistes-tatoueurs.assoconnect.com/articles/37020-devenir-tatoueur-faites-le-bon-choixhttps://syndicat-national-des-artistes-tatoueurs.assoconnect.com/articles/37020-devenir-tatoueur-faites-le-bon-choix

Devenir tatoueur : Faites le bon choix !

Devenir tatoueur : Faites le bon choix !

Vous êtes de plus en plus nombreux à nous alerter à propos de formations délivrées dans une « école de tatouage » ou autre « institut de formation », voire dans un Greta (établissement public) pour l’obtention d’un diplôme d’ « Artiste tatoueur » !
Dans un contexte déjà difficile en termes d’ouverture au métier, cette perspective donne des sueurs froides et bien des inquiétudes aux pères fondateurs du tatouage moderne.

Concrètement, la formation annoncée est réalisée en association avec une école de tatouage privée, laquelle a créé et enregistré sa propre certification (ou « diplôme ») au RNCP (Registre National des Certifications Professionnelles). La « reconnaissance » de ce diplôme est donc ici uniquement administrative : Elle ne valide en rien la qualité du programme ou les compétences techniques de la personne qui l’obtient.

Issue d’initiatives privées et locales, cette formation ne délivre :
– ni un diplôme d’Etat ;
– ni un cursus validé ou cautionné par la profession ou par le SNAT.

Un tel « diplôme », même s’il a l’apparence d’un titre officiel du fait de son inscription au RNCP, ne bénéficie d’aucune légitimité auprès des professionnels. Il ne représente par ailleurs pas de valeur concrète pour un aspirant tatoueur en recherche d’emploi.

Le métier de tatoueur attire de plus en plus de jeunes ou de professionnels en reconversion, beaucoup plus que ne peuvent en accueillir les professionnels en place : Avec près de 1 français sur 5 qui se déclare tatoué, souvent 2 à 3 événements de type conventions par week-end (parfois plus), sans compter les applis dédiées aux « solutions pour les tatoués », etc… On peut difficilement s’avouer réellement surpris que le domaine de la formation soit lui aussi exploité… Mais on peut s’en inquiéter pour l’avenir de la profession : Si aujourd’hui cette formation est proposée dans un établissement public local, elle le sera malheureusement et très probablement de plus en plus demain dans d’autres structures, publiques ou privées.

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REFUSER TOUTE EMBAUCHE OU COLLABORATION
AVEC UN CANDIDAT « DIPLÔMÉ » ?

À ce stade, notre seul moyen immédiat, mais aussi le plus fort, est simple et collectif :
Si tous les tatoueurs et professionnels du tatouage refusent systématiquement
de recruter ou de s’associer avec une personne revendiquant un tel cursus,
ce type de diplôme non seulement n’aura aucune valeur,
mais discréditera quiconque en sera titulaire auprès de tout réseau professionnel.

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QUEL CADRE POUR LES FUTURS TATOUEURS ?

Tous ceux qui ont pu suivre le travail du SNAT sur la problématique du statut de l’apprenti se souviendront de l’idée de construire un CQP (certificat de qualification professionnelle).
Pour mémoire, ce projet, majoritairement rejeté par nos membres en Assemblée Générale, nous aurait notamment obligés à nous rattacher à des professions totalement éloignées du métier de tatoueur (par le biais de leur convention collective) : Il suffit de constater le nombre de CQP et autres titres de certification inventés dans le secteur de l’esthétique ou du graphisme…

Pour l’avenir, la formation artistique doit absolument être mise en avant, en cohérence avec la défense du statut d’artiste tatoueur : Etablir des liens avec les écoles d’art est une option que nous aimerions envisager. Avec un tel cursus, tout étudiant serait à même de trouver un professionnel susceptible de lui transmettre la technique nécessaire à la pratique du tatouage, avec l’option d’une convention de stage pour une durée de 6 mois.

Si des solutions applicables à notre métier sont envisageables, seul le soutien de nos adhérents permettra au SNAT de construire une alternative solide et concrète pour les futurs tatoueurs.

Avec la préoccupation constante de défendre l’art du tatouage en tant que tel.

Merci à tous pour votre attention !

Voilà de quelle manière le SNAT espère continuer de former en toute illégalité des apprentis, non sans exploiter des artistes en qualité de salariat maquillé.

Retrouvez l’article sur les mensonges sur l’hygiène du gourou de la secte qu’est le SNAT